La soumise aux yeux bandés et l’épreuve du temps

La soumise aux yeux bandés et l’épreuve du temps

Elle est entrée dans la chambre, nue à l’exception de son collier, et s’est agenouillée sur le côté gauche du lit, comme il l’avait demandé. Les mains derrière son dos cette fois, chaque main serrant le poignet opposé. Elle s’est penchée en arrière sur ses talons et l’a observé. Et attendit l’exercice qu’il avait promis au téléphone et qu’il avait nommé d’un énigmatique « l’épreuve du temps ».

Il est passé derrière elle et a attaché les menottes ; elle a légèrement grimacé en entendant le  » clic « . . Elle repensa aux mots qu’il avait prononcés la première fois qu’il les qu’il lui avait passé, quelques mois auparavant. « Comme elle est totale« , avait-il dit, « ton impuissance« .

Il s’est retourné, a souri doucement et l’a regardée droit dans les yeux. »Regarde-moi », a-t-il dit doucement. « Je veux que tu me regardes tant que tu le peux. » Il a commencé à prendre plusieurs jouets dans son sac et les a disposés, alignés les un à côté des autres, de l’autre côté du lit. D’abord une cravache, puis un fouet qu’il a qu’il a étalé avec précaution, puis un paddle et enfin un martinet. Il les regarda attentivement, comme s’il se demandait s’ils devaient être repositionnés. Puis il l’a regarda, elle, à nouveau dans les yeux et ses mains descendirent jusqu’à la taille de son jean. Il a enlevé sa ceinture, celle avec la large boucle en métal, et l’a posée sur le bout. Il sourit un peu plus en la voyant grimacer, et dit à voix basse, « Ne t’en fais pas,ma chérie. Tu vas me remercier pour ça dans une minute.« 

Il s’est approché de la table, a pris un objet rond en métal et est revenu s’asseoir sur le lit., se plaçant entre elle et les jouets. Il a posé un doigt sous son menton et a soulevé sa tête, jusqu’à ce que leurs yeux se croisent à nouveau. Son expression était plus grave maintenant.

« Tu vois ce chronomètre ? » a-t-il demandé. « Je vais le mettre en marche dans une minute ou deux. Quand je le ferai, c’est à toi de m’amener à l’orgasme le plus rapidement possible. Tu as cinq minutes.
Pour chaque minute de dépassement, tu recevras un coup de n’importe lequel de ces accessoires ou même peut-être d’autres que je n’ai pas encore disposés sur le lit… à moins que j’utilise juste mes mains nues… et je les utiliserai où je veux sur ton joli corps. Je peux te donner la punition en une seule fois
ou l’étaler sur tout le week-end, je n’ai pas encore décidé. La seule chose dont je suis sûr c’est que tu recevras tous les coups, en entier, avant de partir ».

Elle le regarda et calcula la tâche qui l’attendait. Le bouton-pression de son jean serré qu’elle devrait ouvrir avec ses dents, et une fermeture éclair qu’elle devrait descendre, sans aide. Les lacets à défaire, puis les baskets à enlever. Peut-être pourrait-elle peut-être se retourner et les retirer avec ses mains, pensa-t-elle. Un jean à descendre sur les hanches et à enlever complètement, encore une fois avec ses lèvres. Puis le caleçon avant de pouvoir enfin sucer sa belle queue de 25cm, lentement, comme il aime qu’elle le fasse. Il n’a jamais joui en moins de dix minutes, il s’est toujours retenu. Elle doutait que cette fois, il se laisse aller. Encore moins du fait de ce défi du temps.

Après une minute de silence, il lui a demandé si elle avait bien compris. Elle a hoché la tête avec empressement. « Bien« , dit-il, en s’apprêtant à démarrer le minuteur, mais il s’est soudainement arrêté.
. « Oh… j’ai failli oublier ! » Il s’est levé et a fouillé dans sa poche arrière pour en sortir une épaisse écharpe noire qu’il avait coutume d’utiliser comme bandeau.
« Nous aurons besoin de ça« , dit-il, en l’attachant fermement autour de ses yeux, bloquant toute vue. « Ok, maintenant !« 

Et dans l’obscurité, elle a entendu le « clic » du minuteur et ensuite le son de son rire. Un rire sadique.

Vidéo d’une soumise qui suce son maître

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