Karine mouille en jouant aux gendarmes et à la voleuse

Karine mouille en jouant aux gendarmes et à la voleuse

Depuis mon plus jeune âge, j’ai toujours été excitée par l’idée de la douleur avant même d’être excitée par la douleur elle-même. Pas nécessairement une vraie douleur donc, juste l’idée d’avoir mal. Je rêvais de douleur érotique… (dans certaines limites). Et des années plus tard, je suis toujours excitée par ces idées de douleur d’une manière ou d’une autre.
Et c’est en cela qu’au fond, j’ai toujours été, d’une manière ou d’une autre, dans la domination et la soumission (j’ai exploré les deux côtés du fouet mais pas en même temps… 😉 ).

Plus récemment, le bondage s’est ajouté à mes pratiques BDSM. L’idée d’être complètement impuissante et à la merci de quelqu’un d’autre est vraiment excitante.

À l’école primaire, nous jouions toujours aux gendarmes et aux voleurs à la récréation. J’adorais ce jeu sans savoir réellement pourquoi… je VOULAIS être attrapée… Pourquoi ? Parce que je voulais être contrainte, j’aimais que l’on emprisonne mes poignets, qu’ils soient serrés derrière mon dos… Je voulais qu’on me fouille – partout – à la recherche de « clés » (nous utilisions des brindilles)…. et je voulais être enfermée. Quand il y avait une évasion durant le jeu, je faisais parfois semblant de mal saisir l’opportunité, juste pour pouvoir me faire attraper à nouveau (intentionnellement).

Et j’ai toujours voulu avoir beaucoup de clés cachées dans ces jeux de cours d’école… mais pas pour pouvoir les utiliser pour m’échapper de la prison… Juste pour qu’on puisse les retrouver plus tard et que je sois puni pour ça…

Apparemment, je n’étais pas le seule à apprécier ce jeu… Dans mon école, cela a même fini par poser un problème, au point que jouer aux gendarmes et aux voleurs a fini par être interdit parce qu’il devenait trop agressif,avec trop de contacts physiques et donc, des contacts parfois sexuels. Avec le recul, je comprends que ce pouvait être un problème pour la direction de l’établissement.

Même si je voulais être enfermée et punie depuis mon plus jeune âge, c’est donc surtout la douleur qui me faisait fantasmer. A l’adolescence, dans mes moments déjà lubriques, je pouvais fermer les yeux
et me retrouver trempée d’excitation rien qu’en imaginant mon corps sans défense serré, lesté, et fouetté par un maître sadique….. Bien qu’en réalité, je dois bien l’admettre mon seuil de douleur eut été TRÈS
bas… A la fac, j’ai perdu connaissance à cause de la douleur lorsque je me suis fait cautériser le nez…
(apparemment j’étais la premier à faire un malaise pour si peu à l’infirmerie)… Donc mes fantasmes étaient pavés d’envie de douleur, et cette idée m’emmenée jusqu’à l’orgasme quand je me caressais
mais la douleur réelle, elle, ne m’excitait pas (ou du moins pas encore).

Ainsi, ma première expérience réelle du plaisir masochiste, celui que peut procurer la montée d’endorphines n’était en fait pas liée au BDSM. C’était accidentel. J’étais assis devant l’ordinateur en train de lire une histoire érotique très excitante. Je jouais avec mon clito, mais je n’étais pas encore près de l’orgasme. Et puis… Je me suis cogné l’orteil. Durement. Et totalement accidentellement. Et j’ai senti cette montée des endorphines dans tout mon corps. Quelques minutes plus tard, je tremblais dans les affres d’un orgasme d’une puissance que je n’avais jamais connu. La douleur et le plaisir ne faisait plus qu’un. Avant cette expérience,je n’imaginais pas comment on pouvait vraiment prendre du plaisir en se blessant (ou en étant blessée) malgré les nombreux fantasmes qui étaient les miens. Mais à partir de ce moment-là, …. j’ai su que c’était vraiment possible. Et quand je dis possible, je devrais sans doute dire magique…. Maintenant, je mouille quand je me cogne l’orteil…. sourire innocent… et je me soigne avec mon vibro …

Vidéo d’une jeune soumise arrêtée par la police

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