Servantes aux seins gorgés de lait
Frottant vigoureusement ma poitrine avec la serviette de bain, je me suis séchée en terminant ma douche. Puis j’ai fixé les tire-laits que le maître me fait utiliser depuis longtemps. En les utilisant, mes seins se sont remplis de lait. Il adorait ça !
Les seins gorgés de lait, je suis entrée dans le salon. Toujours nue, je me suis agenouillée devant mon Maître. Il était assis dans son fauteuil club en cuir bordeaux. Il a tendu la main et a soupesé mon sein gauche puis l’a lâché tandis qu’il soulevait le sein droit.
Prenant le mamelon entre ses doigts, il a doucement pressé et tiré en même temps.
Un jet de lait a éclaboussé ses pieds. « Très bien mon esclave, tu es encore pleine. » Il m’a demandé de me lever et de m’asseoir à côté de lui. Je me suis exécutée.
J’avais les seins pleins de lait mais pas le ventre d’une femme enceinte. Je me suis retournée et me suis assise à côté de mon maître, j’ai posé mon cul sur le bras du fauteuil. Il a tourné la tête. Sa bouche et mes seins étaient parfaitement au même niveau.
Il a lentement sucé, un peu, ma lourde poitrine. Juste pour gouter. Après avoir goûté mon lait, il a une nouvelle fois soupesé mon sein puis l’a laissé tomber doucement.
» Cela fera très bien l’affaire esclave. Maintenant va préparer des canapés, nous allons avoir 10-15 invités ce soir. »
Il m’a giflé les fesses alors que je me levais du bras du fauteuil.
Plus tard dans la soirée, vers 19h30, les invités ont commencé à arriver par couples.
Toujours nue, j’ai pris leurs manteaux et j’ai vu que quelques-unes des dames étaient enceintes et toutes avaient de gros seins pendants. Les dames étaient également nues sous leurs manteaux.
Les messieurs étaient en tenue de soirée, ils ont commencé à établir des challenges entre eux. Et très vite, j’allais comprendre de quoi il s’agissait.
« Messieurs, prenez vos épouses et placez-les devant vous. Utilisez votre partenaire comme bouclier ! »
Me prenant par les bras, le maître me plaça carrément devant lui. Il a attrapé mes deux seins par le téton. Il a fait gicler le lait sur un monsieur à tête grise.L’homme a répondu en faisant gicler du lait de la poitrine de sa femme.
C’était une sorte de bataille de pistolet à eau. Et la bataille était sérieusement lancée. Ils s’envoyaient du lait les uns sur les autres en utilisant les femmes comme bouclier (et comme arme). Ils riaient et s’amusaient en criant et en se chamaillant comme des gamins.
Les dames ont manifestement mis quelques secondes à comprendre ce qui se passait, qu’elles qu’elles recevaient elles aussi du lait sur leur corps et se faisait chahuter. Mais elles se sont toute vite laissées prendre au jeu !
Toutes les femmes avaient le visage maculé de lait. Il en dégouliné de tous les endroits de leurs corps. Les hommes n’était pas mieux lotis, le lait coulait de leurs cheveux sur leurs vêtements et il y en avait partout sur le sol. Quelques-uns ont même glissé et sont tombés.
Après nous êtes goûtés les uns les autres, on a fait circuler des serviettes pour que tout le monde puisse se sécher. Les dames ont récupéré leurs manteaux dans l’armoire. Tout le monde a remercié mon Maître en disant que c’était un bon moment et qu’il devrait y avoir plus de telles soirées plus souvent. Après que tout le monde fut parti, mon Maître m’a pris dans ses bras et m’a dit, « Tu es une bonne esclave. »
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