Rencontre avec une dominatrice

Rencontre avec une dominatrice

Je dois bien avouer que mes préférences sexuelles et leur évolution sont assez floues.

Qu’est-ce qui m’est venu en premier, mon désir de soumission ou mes fétichismes ? C’est un peu se demander qui a été le premier la poule ou l’œuf. Néanmoins, je suis convaincu que le fétichisme de la soie et du satin a toujours été fait partie de moi. Et ma soumission ? Je ne saurais pas dire quand elle est arrivée. Ce que je sais c’est que le fétichisme du cuir est venu avec la soumission (et pas avant). Je suis devenu fétichistes des bas, au fil du temps que je passais aux pieds de domina. Je regarde toujours le pied des femmes. C’est la faute de ma femme. Elle adorait se faire dorloter, masser et embrasser les pieds. C’est peut-être de là que m’est venu mon fétichisme du pied.

Elle a toujours adoré que je prenne soin de ses pieds et que je lui fasse une pédicure. J’ai toujours été bon pour pétrir la chair d’une femme. J’étais un masseur de nature et les pieds étaient ma spécialité. Je ne savais même pas que j’avais ce talent jusqu’à ce que ma femme le découvre. Je n’aimais rien de plus que de lui donner du plaisir en lui massant les pieds et elle-même adorait que je lui caresse les pieds. Elle est partie maintenant. Elle me manque tellement.


Mon fils a grandi et a pris son indépendance. Je me suis retrouvé seul, sans direction ni but. Je me suis tourné vers internet pour tromper mon ennui et j’ai commencé a côtoyer des sites internet dédiés aux fétichismes et plus particulièrement aux sites qui traitaient de mes goûts sexuels particuliers.

C’est dingue que de constaté le nombre de sites et de de groupes sur le net qui se consacrent aux fétichismes. J’ai rejoins des groupes qui traité du fétichisme des foulards en soie, des groupes de bondage avec des foulards, des groupes de femme dominatrice, des groupes traitant des godes ceintures, la liste est sans fin, si vous ne trouvez pas ce que vous cherchez, vous pouvez vous-même créer un groupe et agréger des fétichistes qui ont les mêmes goûts que vous et qui n’attendait que cela. Internet a été ma planche de salut et et m’a permis de ne pas me sentir seul. J’avais plusieurs amis sur le net et je participais à quelques groupes. Je me méfiais beaucoup des gens du net, combien d’entre eux mentaient sur leur identité, combien n’attendaient que de profiter de moi ? Bien que j’aie trouvé du réconfort sur le net, je n’oubliais pas qu’il est plein de prédateurs et que la méfiance est de mise.


C’est là que j’ai rencontré Lady Estelle pour la première fois. Je dévoré ses messages dans le forum et les groupes, j’ai toujours aimé sa façon de penser. Je n’étais pas toujours d’accord avec elle, mais ses convictions rejoignaient étroitement les miennes quant au sujet de la domination féminine. Certains disent qu’il n’y a rien de sexuel dans une relation avec une femme dominatrice. Je n’adhère absolument pas à cette assertion et en ce qui me concerne, rien ne m’excite plus sexuellement que la soumission.


Lady Estelle était douée pour lancer des conversations dans les groupes et un jour, elle a fait part de sa passion pour l’adoration de ses pieds. Avant que j’aie fini de lire tout son message, mon pénis se tendait dans mon jean, les mots de Lady Estelle me faisait bander.

J’ai immédiatement pensé que je pourrais donner du plaisir à Lady Estelle, comme elle n’en avait jamais pris auparavant. C’était prétentieux mais j’étais vraiment convaincu que je pourrais lui donner ce qu’elle avait décrit dans ses messages et qu’elle semblait ne pas avoir trouvé.

La seule pensée que je pourrais donner à cette femme le plaisir dont elle avait envie m’a rendu fou.

Pourtant, je n’ai rien dit. Je n’ai jamais été du genre à prendre des risques et je suis extrêmement timide, malgré mes discussions endiablées avec certains membres du groupe. Je ne pouvais pas contacter cette femme, cette Maîtresse, cette Domina et prétendre que je pouvais donner à ses pieds du plaisir comme ils n’en avaient jamais connus. Les dominatrices, vraies ou fausses, sont bombardées quotidiennement sur le net par des abrutis et des aspirants ; je ne voulais pas être considérée comme tel.

Les planètes se sont miraculeusement alignées peu de temps après : Lady Estelle m’a écrit. Je suppose qu’elle a aimé la façon dont je développais mes idées dans les groupes et qu’elle m’a écrit pour me le dire. Ce premier contact a entrouvert une porte et bientôt nous échangions des e-mails presque quotidiennement. Quand j’ai senti que le moment était venu, je lui ai dit combien j’avais apprécié sa passion pour l’adoration des pieds et combien j’étais doué pour donner du plaisir aux pieds d’une femme. Dans son courriel suivant, Lady Estelle a été lapidaire : elle m’a demandé d’agir ou de me taire.
Je n’avais pas vraiment envisagé une rencontre avec Lady Estelle. Notre relation épistolaire me comblait. Rencontrer une femme comme elle, qui avait fait de la suprématie féminine un style de vie Femdom m’effrayait au plus haut point.

Avec ma femme, on jouait, on tâtonnait,. Elle m’attachait avec des foulards ( j’adorais cela !), me donnait la fessée jusqu’à ce que mon cul soit rouge comme elle l’aimait et de temps en temps, elle utilisait une sangle ou d’autres jouets anaux sur moi. Je la massais, je lui faisais des pédicures, je cuisinais, je nettoyais la salle de bain, je lavais les vêtements (mais elle ne me laissait pas repasser, car je n’étais pas très doué), je faisais la vaisselle et de nombreuses autres tâches, je faisais tout cela pour lui faire plaisir. Une fois de temps en temps, elle m’ordonnait de porter une culotte au travail, puis me taquinait par téléphone ou par e-mail toute la journée. De même, de temps en temps, avant de jouer à la sangle, elle me faisait enfiler une paire de ses vieux collants, puis les déchiraient en exposant mon cul et mes parties génitales. C’était là l’étendue de mon expérience en matière de domination féminine ; j’étais bien loin d’avoir l’expérience suffisante pour m’imaginer entre les mains d’une domina 24/7.


J’ai passé quelques nuits blanches hanté par Lady Estelle et puis je m’y suis résolu, pourquoi ne pas la rencontrer pour en avoir le cœur net ? Qu’est-ce que j’ai à perdre ? De plus, mon employeur m’a dit d’utiliser une partie de mes vacances avant qu’elles ne soient obsolètes. J’ai envoyé un e-mail à Lady Estelle et lui ai dit que j’aimerais avoir l’honneur de venir prendre soin de ses pieds.


Lady Estelle n’était pas tombée de la dernière pluie, et m’a jauger pour s’assurer de la sincérité de ma démarche et me challenger. Parmi les nombreux challenges, elle m’a envoyé acheter une culotte, des porte-jarretelles et des bas selon ses spécifications. Je devais obtenir une note écrite de la vendeuse qui m’avait aidé et, si possible, une photo d’elle et de moi devant le magasin. Mon visage a rougi rien qu’en lisant ces ordres. Je me suis rendu dans un centre commercial situé dans la ville voisine et j’ai demandé à une jeune femme qui avait peut être 21 ans maximum de me servir. Elle a souri lorsque je lui ai fait part de mes besoins et a ri aux éclats lorsque je suis devenu tout rouge. Elle n’a cependant pas été décontenancée par les consignes que je suivais à la lettre. Elle ne pouvait malheureusement pas m’aider. La boutique n’avait pas ce que je cherchais. La jeune vendeuse m’a cependant écrit un mot comme demandé et pris une photo avec moi. J’étais dépité d’avoir échoué et de ne pas être parvenu à exécuter les consignes de Lady Estelle pour ma première vraie mission. La jeune vendeuse, voyant ma déception alors que je quittais le magasin, m’a arrêtée et m’a dit de l’attendre. Elle est allée voir son patron et lui a dit qu’elle allait faire une pause, puis elle a pris mon bras et m’a escortée dans le centre commercial. Nous avons atterri dans une autre boutique où travaillait un de ses amis. Ils ont pu m’obtenir une tenue proche de celle que Lady Estelle souhaitait me voir porter. La vendeuse de cette nouvelle boutique a écrit un mot à l’attention de Lady Estelle et nous avons toutes les trois été prises en photo devant le magasin. La première vendeuse m’a donné son adresse électronique et m’a demandé de demander à Lady Estelle de lui écrire. Elle avait compris ce qu’était mon aventure de shopping et souhaitait faire de même avec son ami. J’ai scanné les lettres et les ai envoyées avec les photos à Lady Estelle, accompagnées d’un rapport détaillé. Elle était très contente. J’étais si heureux que je restais sur mon petit nuage le reste de la semaine. Bon, j’ai omis de lui dire que mes genoux ont failli flancher en quittant le centre commercial et que j’ai tremblé pendant dix bonnes minutes après être montée dans ma voiture.
Après quelques challenges supplémentaires et des dizaines de questions, je pense que Lady Estelle était convaincue de mon engagement et de ma sincérité. Nous avons fixé une date qui était trois semaines plus tard. Je devais me rendre sur l’autoroute A9, sur une aire proche de Béziers. Une fois là-bas, je recevrais d’autres instructions. C’était un voyage de 8h59 depuis chez moi m’indiquait Google Maps. J’ai demandé et obtenu un congés de deux semaines. Mon voyage ou mon aventure pour voir Lady Estelle allait représenter au moins 14 heures de route pour moi et, à ce stade, je n’étais assuré que d’un repas avec Lady Estelle. Nous pourrions nous rencontrer et elle pourrait décider que je ne l’intéresse pas. Je n’avais rien à perdre.


Ces trois semaines se sont avérées être une éternité. Les jours s’éternisaient et les nuits je ne vous en parle même pas. Je ne dormais pas beaucoup et j’avais très peu d’appétit. L’anticipation et l’anxiété se sont fait cocktail explosif. Mon esprit était tellement embrumé. Pourquoi m’aventurais-je dans une telle aventure ? Qu’est-ce que j’espérais en retirer ? Pourquoi diable avais-je traversé la moitié du pays en voiture ? Les réponses à ces questions se sont avérées très faciles. Je me sentais seul. Lady Estelle semblait être une femme qui tirerait un grand plaisir de mes talents et cela faisait un moment que je n’avais pas donné de plaisir à une femme. Enfin, j’étais dans une phase de ma vie où j’avais la liberté de faire ce voyage.
La date de mon départ est enfin arrivée. J’avais décidé de faire la route sur deux jours pour ne pas être trop épuisé par le trajet lorsque je rencontrerais Lady Estelle. J’ai préparé un petit sac et la lingerie qu’elle m’avait fait acheter . J’ai également chargé dans ma voiture le cadeau que je lui offrirais à mon arrivée.


Ma route était facile ; je devais juste rejoindre paris et et me diriger vers le sud. J’avais un trac terrible que j’ai cru que j’allais devoir m’arrêter et vomir mes tripes. Une fois sur l’autoroute et les lignes blanches qui défilait, le trac s’est lentement dissipé.


Mes pensées ont divagué vers Lady Estelle. Je me suis rendu compte que je ne lui avais rien demandé sur elle-même et qu’elle m’avait dit très peu de choses. Je savais qu’elle avait les cheveux blonds et je n’avais vu que ses yeux sur son avatar (du moins, j’ai cru que c’étaient ses yeux). Je crois que je n’avais pas la moindre idée de qui était vraiment Lady Estelle. Pour ce que j’en savais, elle aurait très bien pu être un mec nommé Raymond. Tout ce que je savais vraiment, c’est qu’elle avait une véritable passion sexuelle pour la domination féminine et, à ce stade, c’est tout ce qui comptait pour moi. Si elle s’avérait être Raymond, je pouvais bien entendu m’enfuir.

Je ne pouvais pas m’arrêter de conduire, tellement j’avais hâte et je suis arrivé à Béziers en un peu moins de 8 heures, sans faire étape comme je l’avais initialement prévu. J’avais donc une journée d’avance. J’ai trouvé l’Hôtel IBIS du rendez-vous assez facilement mais j’ai décidé de ne pas m’enregistrer. Et si elle travaillait là ? Elle aurait vu que j’avais un jour d’avance et que j’avais transgresser ses instructions. J’ai pris une chambre dans un hôtel un peu miteux dans la ville juste après la sortie de l’autoroute, un hôtel dans son jus qui ne payait vraiment pas de mine.

Après avoir découvert la chambre un brin désuète et sans fioritures, j’ai décidé d’explorer la ville. Ma première impression a été que ce n’était pas vraiment une ville. J’ai été attiré par le bord d’un lac dans un village voisin qui s’appelait Vendres. J’ai toujours attiré par l’eau. J’ai passé du temps dans les dunes du Cap d’Agde.

Je me suis retiré assez tôt dans ma chambre pour attendre la longue nuit et me demander ce qu’il allait se passer le lendemain

Je me suis levé aux premières lueurs du jour après une nuit sans sommeil. J’ai décidé de retourner au Cap d’Agde. En réfléchissant à la façon de m’y rendre et d’en revenir, je n’ai pas pensé aux événements qui allaient se dérouler. Les paysages étaient superbes, mais je ne suis pas resté longtemps ; j’avais hâte de retourner à Béziers pour enfin prendre la chambre à l’Ibis.

Avec les clés de ma chambre, le réceptionniste de l’Hôtel m’a remis une enveloppe sur laquelle figurait mon prénom. Je voulais déchirer l’enveloppe immédiatement mais j’ai attendu d’avoir vidé la voiture et de m’être installé dans ma chambre.

Je me suis assis sur le bord du lit double et, avec mon canif, j’ai ouvert l’enveloppe avec précaution. A l’intérieur se trouvait une note manuscrite. L’écriture était féminine, assurément celle de Lady Estelle. Une courte note : L’Antre de la Forêt 17h00 Lady Estelle.

J’avais deux heures pour me préparer. J’ai pris une très longue douche, me savonnant plusieurs fois pour m’assurer que j’étais aussi propre que possible. Je me suis rasée et brossée les dents. J’ai mis du déodorant et j’étais sur le point de m’asperger d’eau de Cologne, mais je me suis ravisé car je ne savais pas si Lady Estelle aimerait le parfum ou non.

J’ai sorti la lingerie que Lady Estelle m’avait fait acheter plus tôt et j’ai commencé à tirer sur les bas noirs, en faisant attention à ne pas les filer. J’ai regardé le porte-jarretelles noir en dentelle en essayant de comprendre comment l’enfiler. J’ai repensé au film  » Bull Durham  » où Kevin Costner explique à Tim Robbins comment les enfiler de la bonne façon. Une fois le porte-jarretelle enfilé, accrocher les bas était un autre défi en soi. Je me sentais stupide d’avoir du mal à m’habiller et encore plus stupide de porter de la lingerie. A la culotte noire en soie, maintenant. La culotte était trop serrée et j’ai dû faire quelques ajustements pour ne pas être trop mal à l’aise. Malgré le côté humiliant de cette féminisation forcée, la culotte était agréable et j’ai commencé à avoir une érection.

J’avais vu l’Antre de la Forêt au cours de mes balades et il semblait être plus un bar qu’un restaurant chic, alors je me suis habillé de façon décontractée mais élégante. J’ai mis des Dockers bleu marine, une chemise blanche à manches longues et une cravate rouge et bleu marine. Des chaussures en cuir marron et une veste en velours côtelé marron complétaient ma tenue. J’espérais que Lady Estelle ne penserait pas que je n’étais pas élégant, bien que je ne m’habille que rarement aussi bien.

Je suis arrivé à l’Antre à 16 h 45, le nez en l’air. En entrant dans l’établissement, j’ai réalisé que j’étais le seul client. J’avais raison n envisageant que cet établissement puisse être un bar plus qu’autre chose. En fait, cela ressemblait beaucoup à un bar de routiers. La seule autre personne dans le bar était la barmaid, une femme assez grande et plantureuse portant une veste en cuir noir et des tatouages le long de ses bras. Elle avait les cheveux noirs , bouclés et courts. Sa veste était très serrée et tendue sur ses seins généreux.

« Que puis-je faire pour toi ? » m’a-t-elle demandé. Le ton était assez autoritaire.

J’étais déjà nerveux au départ, mais maintenant je ne me sentais pas du tout à ma place et les dessous féminins me faisaient sentir très vulnérable. Je sentais que la sueur commençait à perler sur mon front.

« Euh…. rien pour le moment, merci. J’ai rendez-vous avec une amie ici sous peu, nous commanderons quand elle sera arrivée« .

La barman a grommelé et est retournée essuyer des verres. Comme indiqué dans un e-mail, je me suis assis à la table du fond, dos à l’entrée. J’ai placé mes cadeaux pour Lady Estelle sur la chaise à ma gauche. Tout mon corps tremblait. J’ai pensé brièvement qu’il était encore temps de s’échapper.

A 5 heures précises, j’ai entendu le bruit distinctif de talons hauts entrant dans le bar.

Le barman a crié : « Estelle ! ça faisait longtemps !« .

« Comment ça va Jocelyne ? » La voix de Lady Estelle résonnait dans mes oreilles pour la première fois, la voix était franche et suave.

« Pas mal. C’est ta nouvelle salope là-bas » ? dit Jocelyne avec un petit rire.

« On va voir ça…« , Lady Estelle a laissé échapper un petit rire.

Le bruit de ses talons sur le parquet se rapprochait. Je tremblais comme une feuille. Comme je devais avoir l’air pathétique. Je devais prendre sur moi pour ne pas me lever et m’enfuir ou pour ne pas me retourner et regarder.

Je pouvais sentir l’odeur du cuir mélangée à un parfum chic que je ne pouvais pas identifier. Une main recouverte de cuir s’est posée doucement sur mon épaule. Mes tremblements se sont arrêtés net.

« Stéphane, je présume » ?

D’un geste rapide, je me suis levé de ma chaise en direction de Lady Estelle et j’ai posé un genou à terre, la tête baissée, selon les instructions que m’avait donné Lady Estelle. J’ai fixé ses escarpins noirs en cuir verni et je pouvais voir un vague reflet de moi-même dans les chaussures. Des jambes sombres recouvertes de nylon coulaient dans les chaussures. Je ne pouvais pas ou n’osais pas regarder plus haut.

Jocelyne a gloussé de l’arrière du bar et mon visage est devenu rouge.

« Lève-toi Stéphane« , m’a doucement ordonné Lady Estelle.

Je me suis levé et me suis tourné pour la faire assoir. Elle s’est déplacée devant moi pendant que je poussais la chaise. J’ai respiré profondément l’odeur de son cuir et son parfum, tous deux étaient enivrants.

Lady Estelle était comme une apparition. Elle portait une jupe moulante en cuir noir qui bruissa lorsqu’elle s’est assise. Une veste en cuir noir assortie, taillée comme un costume d’affaires, moulait son corps. Un chemisier blanc en satin brillant et une écharpe en soie rouge vif nouée autour de son cou complétaient son ensemble. Je me suis senti un peu flatté en pensant qu’elle avait noté mon fétichisme du foulard et qu’elle le portait pour moi.

En m’asseyant, j’ai paniqué et j’ai commencé à me lever. Qu’est-ce qui m’a pris ? Aurais-je dû attendre qu’on me dise de m’asseoir ?

Lady Estelle a posé sa main gantée fermement sur mon bras. « Assieds-toi, c’est bon. Faisons connaissance« .

Jocelyne est apparue près de nous à ce moment-là. « Vous voulez commander maintenant » ?

J’ai regardé Lady Estelle en ayant peur de dire quelque chose.

« Calme-toi, Stéphane. Jocelyne fait les meilleurs burgers de la région. Joss, je vais prendre un vin blanc pour le moment et un plateau de burgers, à point. Et toi Stéphane ?« 

Je me suis raclé la gorge, « un coca light et un burger, bien cuit, s’il vous plaît« .

« Voilà, ce n’était pas si difficile, n’est-ce pas ? Alors comment s’est passé le voyage jusqu’ici ? J’ai presque été surprise de voir que tu es venu« .

Je ne sais pas à quoi cela tenait, mais Lady Estelle avait un effet apaisant sur moi et je sentais la tension redescendre. « Le voyage a été un tourbillon pour vous dire la vérité. Et je ne saurais pas vous dire combien de fois j’ai failli faire demi-tour, mais je suis si heureux de ne pas l’avoir fait », un grand sourire s’est dessiné sur mon visage.

Lady Estelle a retiré ses gants, révélant des ongles très soignés, divinement mis en valeur par un vernis rouge vif. Ses ongles avaient des pointes mais n’étaient pas très longs. « Alors Stéphane, pourquoi as-tu fait tout ce chemin ? Qu’est-ce que tu attends ce rendez-vous, hmmm » ?
– « Je ne sais pas vraiment. Tout ce que je sais, c’est que nous avons en commun la passion de l’adoration des pieds. Je sens que j’ai un talent en la matière qui pourrait beaucoup vous plaire …« .
– « Mon exigence en la matière est une chose très difficile à atteindre. Tu ne me connais pas du tout. En fait, c’est la première fois que tu peux poser les yeux sur moi ou tu entends ma voix. Alors comment peux-tu savoir que tu seras capable de me donner du plaisir ?« 
-« Ah mais Lady Estelle, je vous connais. Je lis tout ce que vous écrivez, je pense que je vous connais mieux que votre propre famille ou vos collègues. Du moins, si ce que vous avez écrit est bien la vérité et je le crois sincèrement sinon je ne serais pas ici. Et pour être honnête, votre apparence n’a pas tant d’importance, c’est juste le fait que vous ayez la passion du fétichisme des pieds…« 
-« As-tu la moindre idée de ce dans quoi tu t’embarques mon cher Stéphane ? Si tu te fous de moi, je peux te faire du mal d’une manière dont tu n’as pas idée, compris ?« 
C’est alors que Jocelyne est arrivée avec nos hamburgers. J’ai juste hoché la tête pour dire oui.
J’ai croqué dans mon hamburger et j’ai failli le recracher. Qu’est-ce que c’est que ça, j’ai pensé en inspectant le hamburger de plus près ? Lady Estelle m’a fait un sourire amusé et a dit « Burger végétarien !« . Nous avons mangé en silence. Le regard de Lady Estelle semblait transpercer mon âme. Elle semblait étudier chacun de mes mouvements, ce qui me mettait très mal à l’aise. Je mâchais machinalement. C’était peut-être le meilleur hamburger de la région ou de la crotte de chien frit, j’avais la tête ailleurs.


J’ai englouti le dernier morceau de mon hamburger et j’ai fait disparaître les restes avec le dernier Coca-Cola light. Je me suis éclairci la gorge et j’ai rompu le silence gênant. « Lady Estelle, j’ai l’impression que vous avez déjà été blessée et déçue par des prétendants. Mes intentions sont telles que je vous les ai exposé. J’aimerais vous emmener dans ma chambre de motel ou n’importe où ailleurs et vous montrer comment je peux peux vous adorer les pieds. Le choix est entre vos mains. Si vous voulez arrêter maintenant, cela me va. Je respecterai. Si vous voulez aller plus loin, ce sera parfait. Je suis déjà honoré que vous ayez accepté de me rencontrer. Tout le reste n’a aucune importance. Voici quelques cadeaux que je voulais vous offrir. » J’ai donné les cadeaux à Lady Estelle.
« Très bien Stéphane, je vais te donner ta chance de démontrer tes talents, mais attention, tu t’es tellement vanté que tu n’as pas intérêt à me décevoir ou je te punirai, car je sais que cela aussi me ferait très plaisir. Merci pour les cadeaux, mais ce n’était pas la peine« . Lady Estelle a pris les boîtes et a commencé à déballer la première .
Dans la première boite il y avait un foulard de soie, arc en ciel. « Je n’avais aucune idée de vos couleurs préférées, j’espère que l’arc en ciel vous plaira. » Lady Estelle a ensuite découvert une culotte en soie noire de Victoria Secret. Puis une culotte blanche, puis une culotte rouge, puis encore une culotte violette, et une culotte verte …
« Comment as-tu connu ma taille ? Tu as pris un gros risque. Trop grande et j’aurais été vexé, trop petite et j’aurais été frustrée. J’aime beaucoup la lingerie Victoria Secret.« 
« Juste un coup de chance« . Stéphane n’a pas mentionné l’étude de son bras, unique partie du corps visible sur une des photo du site de Lady Estelle. Sur la photo, elle tenait un fouet. Il a fait une supposition en se basant sur ce bras en pariant en plus que c’était le sien.


Lady Estelle a remis les dessous dans la boîte et a remis le couvercle. Elle a attrapé la deuxième boîte. C’était une grande boîte carrée avec un certain poids. « Hmm, qu’est-ce que ça peut bien être« , se dit-elle en commençant à déballer le cadeau.

C’était un kit de pédicure très haut de gamme. Il y avait tout ce qu’on peut utiliser r pour une pédicure parfaite. « J’espère que vous me ferez l’honneur de vous faire une pédicure avec ce kit, Lady Estelle. »
« Vous permettre de me faire une pédicure ? Mon cher garçon, je l’exige ! Commençons.« 
J’ai rassemblé les boîtes et laissé l’argent pour le repas sur la table. J’ai ensuite suivi Lady Estelle au bar. « OK Stéphane, donnes-moi ton permis de conduire et une carte bancaire valide« . Sans discuter son ordre, j’ai fouillé dans mon portefeuille et j’ai donné les pièces demandées. Lady Estelle les a remis à son tour à Jocelyne. « Jocelyne, ce garçon m’a promis du plaisir. Nous allons dans sa chambre à l’Ibis. Quel est le numéro de la chambre, Stéphane ?
« 114« , j’ai dit d’une voix calme.
« Jocelyne, si tu n’as pas de mes nouvelles à minuit, appelle la chambre. Si tu ne peux parler, appelle la police« .
« D’accord Estelle. Peut-être que tu pourras me prêter une de tes salopes bientôt » ?
« Merci Joss, qui sait, peut-être que je t’enverrai celui-là. » Les deux femmes ont ri tandis que je suivais Lady Estelle jusqu’à sa voiture, le visage rougeoyant.


J’ai placé les boîtes à l’arrière de la voiture de Lady Estelle. Elle m’a ensuite demandé de m’asseoir et de l’attendre dans ma voiture. Lady Estelle a pris un papier et un stylo dans son sac et a écrit quelque chose en me regardant fixement. Puis elle est retournée dans le bar. Je pense qu’elle a donné à Jocelyne la marque de ma voiture et sa plaque d’immatriculation. Lady Estelle est ressortie et m’a fait signe de la suivre.
Nous sommes arrivés à l’hôtel sans incident. Je suis rapidement sorti de ma voiture et me suis rendu près de Lady Estelle. Elle était déjà sortie et ouvrait la porte arrière de sa voiture. Elle m’a tendu un étui en cuir noir, puis le kit de pédicure. « La clé« , m’a-t-elle demandé. J’ai fouillé dans ma poche et lui ai tendu la clé. Elle a ouvert la porte et est entrée avec moi qui la suivais de près. Mon cœur a commencé à s’emballer et mon esprit à se demander ce qui se passerait si j’échouais ?
Lady Estelle a criée « déshabilles-toi » ! J’ai rapidement posé mon fardeau et commencé à me déshabiller. Lady Estelle s’est assise sur le lit avec son étui en cuir noir et l’a ouvert. J’étais sans chaussures, torse nu et j’avais détaché ma ceinture quand Lady Estelle a sorti une cravache en cuir noir de son étui. Elle a tapoté la cravache dans sa main encore gantée alors que je fais tomber mon pantalon pour révéler ma lingerie noire. J’ai enlevé mes chaussettes et je suis resté là, tremblant et me sentant stupide, à attendre le prochain ordre de Lady Estelle.
« Stéphane, tu as intérêt à être très bon dans ce que tu fais. Aucun de mes esclaves n’a jamais eu un ventre aussi gros« .
Ses mots m’ont mis KO. J’ai failli me mettre à pleurer. J’ai toujours du bagarrer contre mon poids. J’avais un peu maigri ces derniers temps, mais je n’étais clairement pas svelte.


– « Je te donne l’opportunité de me prouver que tu es digne de l’intérêt que je te porte. J’ai pris en considération ta demande d’être accepté à mes pieds et ton souhait d’être dévoué à mes jambes. Cette cravache sera utilisée si je n’aime pas ce que tu fais. Si je te frappe avec, tu devras t’arrêter et attendre mon prochain ordre. Si je sens que tu as dépassé les bornes, la séance est terminée et tu ne dois plus jamais me déranger. Est-ce que nous nous comprenons ?« 
– « Oui, Lady Estelle« .
« Très bien, à genoux devant moi, ici », a ordonné Lady Estelle en se servant de sa cravache comme d’un pointeur.
J’ai rampé et me suis agenouillé à ses pieds. Lady Estelle a planté son pied droit dans ma poitrine, le talon s’enfonçant douloureusement. « Embrasse-le » !
J’ai posé mes lèvres doucement sur la pointe du pied, sur le cuir noir brillant. « Mmmmm« , fit Lady Estelle dans un mélange de plaisir et de satisfaction. Elle a soulevé le bout de sa chaussure de ma poitrine et le talon de son escarpin a pointé son visage comme une dague. « Fais-lui l’amour » !

Je me suis figée une seconde et la cravache a atterri sur ma jambe gainée nylon. Je me suis penché et j’ai pris le talon dans ma bouche. Le talon mesurait 8 ou 10 cm. J’ai englouti le talon jusqu’à ce que ma lèvre supérieure touche le fond de la semelle de l’escarpin. Puis j’ai aspiré jusqu’à ce que la pointe soit au bord de mes lèvres, puis je suis redescendu comme on le ferait pour une fellation. Puis j’ai commencé à faire courir ma langue de haut en bas et autour de la tige. « Oh, c’est un bon début, . Maintenant vas-y et fais ton truc« .
« Merci beaucoup, Lady Estelle. Pourrais-je s’il vous plaît enlever vos chaussures » ? Lady Estelle a fait oui de la tête. Lentement et avec beaucoup de précautions, j’ai retiré chaque chaussure et je les ai placées debout et bien rangées au pied du lit. Avec mes mains douces, j’ai attrapé le talon d’un pied et je l’ai rapproché de moi. Les odeurs de cuir, de parfum et de transpiration de Lady Estelle m’ont fait tourner la tête. La sensation soyeuse de son pied recouvert du bas a excité mes doigts qui ont commencé à caresser et explorer le pied de cette déesse. Mes doigts ont tracé la délicate voûte plantaire de Lady Estelle. J’ai rapproché ma tête et j’ai déposé un baiser profond et amoureux sur la plante de son pied. J’ai ensuite remonté ma bouche et avalé ses orteils couverts du bas tandis que mes doigts commençaient à caresser le talon et la cheville de Lady Estelle. J’ai senti Lady Estelle s’allonger sur le lit alors que le monde disparaissait pour moi, à l’exception des pieds et des jambes de Lady Estelle.
J’ai tenu fermement le bas de son pied avec ma main droite et ma main gauche a attrapé ses orteils et les a fait tourner doucement en un petit cercle. Plusieurs de ses articulations ont craqué lorsque j’ai fait cela. Je pétrissais la plante de son pied avec mes pouces tandis que mes doigts dansaient sur le dessus de son pied. Ma bite a commencé à gonfler et à se tendre contre la culotte de soie alors que mon nez détectait une nouvelle odeur, légèrement musquée.
J’ai reporté mon attention sur l’autre pied de Lady Estelle et j’ai répété mes techniques. Puis j’ai commencé, avec une légère pression, à faire glisser mes doigts de l’arrière de ses genoux, le long de ses mollets fermes, autour de ses chevilles et en terminant par ses orteils. J’ai répété cela plusieurs fois en appréciant la douceur des bas de Lady Estelle.
Même si j’appréciais la sensation sensuelle de ses bas, je savais que je devais les enlever pour passer aux choses sérieuses. « Lady Estelle, puis-je s’il vous plaît retirer vos bas » ? J’ai attendu sa réponse.
« Oui Stéphane, enleves-les mais en faisant attention. Si tu les files, je vais te tanner la peau« .
Nerveux, je me suis levé. Ma bite en pleine érection avait fait une tente en soie noire entre mes jambes. Je me suis assis sur le lit et mes doigts, maintenant tremblants, ont commencé à remonter lentement et avec beaucoup de précautions la jupe en cuir de Lady Estelle pour atteindre les jarretières. La culotte de dentelle noire de Lady Estelle est devenue visible et j’ai regardé un moment, fasciné. Manifestement trop longtemps puis qu’une douleur aiguë s’est fait sentir sur mes fesses couvertes de la culotte lorsque la cravache a trouvé sa cible.
« Ranges tes yeux et retourne à ta tâche ! ».
J’ai rapidement détaché les jarretières de sa jambe gauche, puis je me suis levé du lit et suis allé du côté opposé. J’aurais pu me mettre à califourchon sur ses jambes pour atteindre les autres jarretières, mais la tentation aurait été trop grande de frotter ma queue contre ces jambes sexy recouvertes de nylon. Le mauvais garçon en moi voulait se frotter à ses jambes comme le chien que je suis, mais heureusement, je suis parvenu à me contrôler. J’ai libéré les jarretières de sa jambe droite et j’ai lentement enlevé le bas. J’ai fait le tour et j’ai enlevé l’autre bas. Puis je les ai retournés à l’endroit, les ai lissés et les ai enroulés. Je les ai mis dans une des pompes près du lit.

Les jambes nues de Lady Estelle étaient maintenant devant moi. Quel sublime moment. C’est ce à quoi j’aspirais. Mes mains ont entouré le haut de sa cuisse droite alors que je passais en mode masseuse. Je me suis assuré de ne pas aller trop haut sur la cuisse pour ne pas attirer l’ire de Lady Estelle. J’ai fait des allers-retours entre les cuisses soyeuses, lisses et musclées de Lady Estelle. J’ai levé les yeux et ait constaté que la tête de Lady Estelle était inclinée vers l’arrière et qu’elle avait les yeux fermés. Un léger sourire se dessinait sur ses jolies lèvres. Ma queue est devenue encore plus dure lorsque son odeur musquée a envahi mes narines.
Je suis descendu lentement le long de ses jambes. Je me suis arrêté à l’arrière de son genou et j’y ai dessiné de petits cercles. Un doux soupir s’est échappé de Lady Estelle. Cette femme me rendait dingue.


Les muscles de ses mollets étaient sculptés et je leur ai donné toute mon attention. Je pouvais sentir Lady Estelle se détendre. Sa peau était si douce. C’était comme si je massais de la soie ; c’était si doux. Lady Estelle, ou peut-être un autre esclave, prend vraiment soin de sa peau, ai-je pensé en poursuivant ma descente vers ses pieds.
J’ai massé ses chevilles en utilisant la partie de ma main située entre mon pouce et mon index. En faisant des demi-cercles autour de ses chevilles délicates. J’ai passé du temps à caresser légèrement mais fermement les tendons d’Achille. J’ai appris de mes pratiques passées que caresser trop fort ici pouvait être très douloureux pour quelqu’un, mais qu’en dosant la pression, ce pouvait être très très très agréable.
Avant de me rendre aux pieds de Lady Estelle, j’ai lentement et très légèrement fait glisser le bout de mes doigts le long de chaque jambe. Cela a provoqué de légers frissons dans le corps de Lady Estelle. J’étais très heureux que Lady Estelle réagisse à mes techniques comme l’avait fait ma femme en d’autres temps. C’était maintenant le vrai test ; les pieds de Lady Estelle n’attendaient plus que moi.
J’ai commencé à m’occuper de ses pieds en serrant mes doigts sur le dessus de ses orteils de son pied droit. Mon autre main saisit fermement le milieu de son pied au niveau du cou-de-pied. J’ai commencé à faire tourner les orteils avec ma main, d’abord lentement et par de petits cercles, puis j’augmentais la vitesse en faisant de plus grands cercles. Les jointures des orteils de Lady Estelle ont commencé à craquer. Elle a laissé échapper un grand soupir de surprise et pendant une fraction de seconde, j’ai crains de lui avoir fait mal, mais le soupir suit qui suivi, m’a fait comprendre que la rotation de ses orteils lui plaisait.
Une fois que le premier pied est détendu, je suis passé au pied gauche où il y avait encore des craquements et des pops, elle allait de soupirs en soupirs.
Je me suis concentré ensuite sur les orteils du pied droit de Lady Estelle. Les orteils sont ma partie préférée du pied. J’ai commencé par glisser mon index entre chaque orteil. En même temps que je poussais le doigt entre les orteils, je le faisais tourner d’avant en arrière en appuyant légèrement sur la chair souple, qui relie les orteils entre eux.

Une fois que j’ai fait chacune des quatre zones, j’ai commencé à utiliser ma langue en la poussant entre les orteils. Je l’ai fais plusieurs fois en partant du haut des orteils, puis du bas des orteils. Cet acte en lui-même m’a entrainé plus profondément encore dans la soumission. Je ne comprends pas pourquoi, mais je me sens toujours comme ça et j’aime beaucoup cette sensation. Je sais que c’est pour cela que je préfère les orteils des pieds à toute autre partie du corps.


Je commençais alors à sucer chaque orteil, en commençant par le plus petit, jusqu’au gros orteil, où j’ai eu l’impression de sucer une petite bite bien dure.
La succion des orteils a été suivie d’autres massages des orteils que je fais pour les sécher afin qu’ils ne deviennent pas trop froids, puis je suis passé aux orteils du pied gauche de Lady Estelle.
Dès que j’ai terminé les orteils du pied gauche de Lady Estelle, j’ai enroulé mes mains autour du dessus de chaque pied, juste sous les orteils. Mes pouces ont commencé à caresser fermement les chevilles des pieds de Lady Estelle. J’ai déplacé mes pouces d’avant en arrière sur les chevilles et j’ai fait de petits cercles pour bien les masser. Lady Estelle a laissé échapper un « ahh » de plaisir alors que mes pouces s’enfonçaient plus profondément dans les chevilles de ses pieds.
Ensuite, chaque cou-de-pied a reçu mon attention. Ceux de Lady Estelle ont une belle voûte plantaire. Lentement, je les ai massé avec mes pouces. Puis j’ai fait glisser l’arrière de l’ongle de mon majeur le long de la courbure du cou-de-pied. Ce mouvement doit être fait juste comme il faut pour ne pas chatouiller ses pieds. Lady Estelle donna un petit coup de pied à son pied gauche. Je savais que j’étais à deux doigts de la chatouille et j’avais le sentiment que ce serait une infraction punissable.
J’ai travaillais ensuite la partie de la ligne de crête du côté du pied, la partie extérieure pourrait-on dire. Mon pouce et la jointure de mon index pétrissaient la chair tendre à cet endroit. J’ai travaillé lentement de l’extrémité des orteils jusqu’au talon.


Les talons d’une domina semblent toujours avoir besoin d’être massés plus que toute autre partie du pied. Peut-être est-ce dû au port de talons aiguilles ? Quelle que soit la raison, j’ai consacré beaucoup de temps et d’efforts aux talons. Ils nécessitent un savant mélange de fermeté et de douceur pour rendre l’expérience agréable pour la domina. Les orteils de Lady Estelle s’agitaient d’avant en arrière pendant que je m’affairais sur ses talons. Je supposais que c’était un signe de son plaisir. J’ai du me retenir d’abandonner les talons pour lécher et sucer ses orteils une fois de plus.
Après un peu plus de deux heures, j’ai fini de masser ses pieds. Mes doigts était à l’étroit et me faisaient mal. « Est-ce que Lady Estelle me laisserait le plaisir de lui faire une pédicure maintenant » ?
« Pas encore, Stéphane. Je t’assure que tu auras ta chance, mais pour l’instant je veux que tu restes là où tu es, à genoux. »
Alors que Lady Estelle s’est levé lentement, elle a rassemblé son sac, ses talons hauts et ses bas. Elle me sourit et à pointer mon érection avec sa cravache. « Tu me flattes. Maintenant, reste assis.« 
Lady Estelle a fermé la porte de la salle de bain. Je l’ai entendue la fermer mais je ne l’ai pas vue puisque j’étais agenouillé vers le lit et que je sentais que je pourrais avoir des ennuis si je me retournais. Ma main droite est descendue et a caressé ma queue à travers la culotte de soie noire. J’ai dû me forcer à arrêter de caresser avant de jouir. Je suis presque sûr que cela m’aurait valu une raclée ou pire, que Lady Estelle partirait. Mes couilles me faisaient mal à force d’être en érection depuis si longtemps. J’ai prié pour être digne de Lady Estelle. Je pensais qu’elle s’amusait mais je ne sais pas ce qu’elle pensait. Qu’est-ce qui lui prend si longtemps ? Cela m’a semblé une éternité depuis qu’elle avait fermé la porte.

C’est à ce moment-là, j’ai entendu la porte s’ouvrir et j’ai entendu le claquement de ses talons. Non, mon esprit a crié. Elle s’en va. Je me suis sentie écrasé et j’ai repoussé les larmes qui commençaient à couler. J’ai senti Lady Estelle derrière moi.
« Tourne-toi, Stéphane, mais reste à genoux.« 
J’ai fait ce qu’on m’a dit et je me suis retourné. Je me suis retrouvé face à face avec un gros gode en caoutchouc rouge. Lady Estelle était en talons et en bas, plus un soutien-gorge en satin noir maiselle avait enlevé le reste de ses vêtements. Elle avait également enfilé une ceinture de cuir noir qui tenait le gode.
Elle a attrapé une poignée de mes cheveux et m’a attiré dans le gode. « Voyons si tu es un bon suceur de bite, Stéphane. Tu m’as tellement excité que je vais te baiser à mort. Maintenant, prends-le, salope » !
Et c’est à ce moment que j’ai été le plus heureux des hommes…


Vidéo d’un fétichiste du pied avec une dominatrice



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