Ma rencontre avec une dominatrice lesbienne
Mon petit ami était parti en déplacement professionnel pendant un mois. Je n’avais pas l’habitude
d’être seule et livrée à moi-même.
Un soir, j’en avais assez d’être seule à la maison, alors je suis allée en ville dans un bar au
au dernier étage d’un hôtel, un roof top, quoi. Alors que j’étais assis au bar et que j’écoutais de la musique, une femme m’a approché et m’a demandé si elle pouvait s’asseoir à mes côtés.
J’ai répondu par l’affirmative, un peu gênée tout de même et elle a vite engagé la conversation. Le courant est passé tout de suite entre nous.
Nous avions bien des choses en commun : l’art, la musique et nous étions toutes les deux seules ce soir là.
Quand le barman a annoncé à la cantonade que la fermeture était imminente. Nous nous sommes toutes deux levées. Je l’ai remerciée de ce moment et je m’apprêtais à partir. Elle a suggéré que nous continuions notre conversation dans sa chambre. Elle logeait dans ce même hôtel. Peut-être un peu du fait d’une légère ivresse, j’ai accepté. Je n’avais pas envie de retourner dans mon appartement solitaire.
Nous sommes descendus à son étage. Elle m’a guidé jusqu’à sa chambre en me tenant le bras. Quand
Quand nous sommes entrés, elle m’a dit de m’asseoir sur le canapé et m’a demandé ce que je voulais boire. J’ai réfléchi et j’ai dit qu’une bière serait parfaite. Elle est allée dans la cuisine et est revenue avec deux bières fraîches.
Elle m’a tendu la mienne et s’est assise à côté de moi sur le canapé. Elle était presque collé à moi.
En s’asseyant, elle s’est penchée sur moi et a touché ma poitrine. Elle a passé son ongle
à l’endroit où elle devait penser que mon téton se trouvait. En plein dans le mille ! Son ongle aiguisé à griffé mon téton à travers le textile. J’ai presque crié à cause de la douleur dans mon mamelon.
Elle a dit : « Oh chérie je t’ai fait mal ?!? » et j’ai répondu que oui. C’est là que d’un geste rapide, elle a
soulevé mon pull et a sorti mon sein mon soutien-gorge, ses lèvres se sont précipités avidement sur mon mamelon et elle a commencé à le sucer.
J’étais en état de choc. Elle a continué à sucer mon téton et pendant qu’elle faisait ça, elle a
elle a déplacé sa main sur mon vendre.
J’ai essayé de m’éloigner mais elle a glissé sa main dans ma jupe et est allée jusqu’à l’élastique de ma culotte. Puis elle a glissé sa main, jusqu’à ma chatte et elle a commencé à jouer avec mon clito.
J’essayais de l’arrêter, en lui disant … »Non, non !!!«
Elle m’a regardé dans les yeux et m’a dit, « si tu ne veux pas, pourquoi est-ce que tu as écartés les cuisses et que tu m’offres un accès à ta chatte trempée ? ».
Un point pour elle … Je n’avais pas de réponse.
Son regard est devenu sombre et ténébreux et son visage strict et elle m’a balancé « regarde les choses en face, petite salope,tu vas être bien baisée ce soir. » Avec ses doigts longs et fins elle m’a pénétré, ses doigts prenaient possession de ma chatte. Les les enfonçait dans ma chatte, en moi. La tête m’en tournait.
J’étais tellement excitée que j’ai commencé à onduler et a frétiller.
Alors que j’étais étendue sur le canapé, elle a enlevé les vêtements qui me restaient et s’est dirigée vers la porte fenêtre menant au porche, a ouvert la porte et les a posés sur une chaise. « Elle a dit que ça t’assurerait de ne pas me quitter. « Comme ca tu es contrainte de rester ! ».
J’étais allongée sur le canapé, les jambes écartées. Elle s’est approchée de moi, à pincé fermement mon téton et a tirer dessus. Elle m’a ordonné de me lever.
Elle m’a conduit, toujours en me tirant par le téton, jusqu’à la table de la salle à manger. Elle m’a poussée
par-dessus, en écartant mes jambes et en me disant de ne pas bouger.
Elle est allée jusqu’au grand lit et a pris une valise. Elle a commencé à la poser sur la
table en face de moi.
Elle l’a ouverte et en a sorti trois cordons. Elle m’a dit de me pencher en avant, ce que j’ai fait.
; elle a placé des menottes sur mes poignets. Elle a ensuite attaché une des cordes à
à celles-ci. Elle est ensuite passée derrière moi, a écarté mes jambes et les a attachées aux pieds de la table.
Je pouvais sentir ma chatte dégouliner. Elle a ensuite fait glisser ses mains le long de mes jambes en se
en se relevant. Ses doigts ont glissé dans mon sillon fessier. Puis dans mon dos et jusqu’à l’arrière de ma tête.
Elle a pris la corde qui était attachée aux menottes et l’a tirée au dessus de la lampe plafonnier et l’a fixée là-haut.
Elle m’a tiré vers le haut et m’a dit de rester comme ça. J’étais bien attachée.
Elle est ensuite retournée à la valise et a sorti deux pinces japonaises et les a placées
devant moi sur la table. Elle s’est penchée vers moi et a sucé mes tétons en s’assurant qu’ils étaient durs et a fixé une pince sur chaque téton.
Elles sont restées suspendues à mes tétons avec leurs chaînes. Ils me faisaient
horriblement mal. Des larmes ont commencé à couler sur mon visage. Elle ne semblait pas se soucier de savoir si elle me faisait mal ou pas. Ou alors elle le savait, et elle aimait ça. Elle s’est approchée une nouvelle fois de la valise et a pris quelque chose et est passée derrière moi.
Je ne pouvais pas la voir, mais je pouvais l’entendre bouger dans mon dos. Lorsqu’elle est revenue, elle s’est présentée devant moi avec un gros gode noir attaché à ses reins. Il faisait environ 20 cm de long. En marchant, elle a passé caressé le membre en latex. Il bougeait entre ses jambes.
Elle s’est approchée de moi, en écartant ses lèvres et j’ai pu voir qu’elle avait aussi un gode dans sa chatte.
Elle est passée derrière moi et a tâté entre mes jambes. J’ai gémi et elle m’a dit : » C’est bien, non ?
pas besoin de te lubrifier comme les autres salopes coincées que je me fais à Lyon.
Elle s’est positionnée au niveau de mon orifice. Je pouvais la sentir écarter ma chatte Elle
a fait le tour de mon corps et a pris les deux chaînes qui étaient attachées aux pinces japonaises et qui pinçaient mes mamelons. Elle a tiré les ficelles qui étaient attachées. Elle a presque arraché mes tétons. Alors que je hurlais de la douleur, elle a enfoncé le gode en moi d’un seul coup. En tenant les « rênes »
elle a crié, « Allez avances salope ! » et s’est mise à me baiser fort.
J’ai commencé à jouir, jouir et jouir si fort. Je gémissais à cause des sensations
qui me traversaient le corps, elle a attrapé mon clito et l’a fait caressé frénétiquement tandis qu’elle jouissait.
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