La flagellation au fouet
Je serrais puis desserrais les poings à chaque fois que le fouet passait sur mes seins et claquait mes tétons. J’étais l’instrument de mon Maître, comme si j’étais le violon et que mon Maître était le musicien mais le fouet était son archet. Il a joué avec moi, avec mon corps et chaque cri qu’il m’arrachait était un son nouveau, proportionnel à la douleur et à mon état d’excitation. Les coups de fouet me faisaient mal et me piquaient.
Mes tétons pointaient du fait de la température froide dans la pièce. La pointe de mes seins étaient rouge écarlate du fait de la flagellation.
Il y avait des marques croisées partout ailleurs sur mes seins. La sueur coulait de mon cou. Et plus bas, je sentais l’accumulation de transpiration sous chacun de mes deux seins.
Mon maître portait un jean et une simple chemise. Elle était trempée de sueur du fait de l’effort fourni pour me fouetter. Sa chemise déjà noire l’était encore un peu plus à certains endroits du fait de la sueur. Sa main était glissée dans la sangle du fouet.
Son autre main, qui elle était libre, passa derrière ma tête, il a tiré fort sur mes cheveux en attirant mon visage vers le sien. Sa bouche s’est collé à la mienne et m’a forcé à ouvrir les lèvres. Il a enfoncé sa langue à l’intérieur. Fort et profond !
Après cela, il a desserré mes liens et m’a rattrapé tandis que je me m’appretais à m’écrouler sur le sol.
Le maître du donjon qui surveillait la séance en responsabilité a vérifié et a dit que j’étais en capacité de subir encore les sévices et qu’il pouvait continuer si s’il le voulait. Mon Maître a secoué la tête en signe d’approbation. Il a attaché mes mains au-dessus de ma tête à la croix de Saint-André, mes chevilles ont été attachées en bas de la croix, laissant mes cuisses entrouvertes à la vue de tous.
Il a passé l’extrémité du fouet entre mes jambes. Frottant ma chatte trempée avec le manche. Ses doigts ont suivi en jouant avec mon clito alors qu’il frottait le manche du fouet le long de ma chatte maintenant dégoulinante. J’étais si mouillée de désir que j’ai failli jouir alors qu’il jouait avec mon clito.
Au lieu de me laisser jouir, le Maître m’a giflé sur le cul nu avec sa main.
Il a laissé le fouet se dérouler de sa main et frapper le sol une fois ou deux, juste pour avoir une
position correcte derrière moi. Un nouveau coup est venu. Mon pauvre cul a tout pris…
tout ! Il a ramené le fouet vers lui et a mis tout ses forces dans le coup suivant. Il m’a frappé sur le haut des épaules avec une piqûre qui ressemblait à celle d’un couteau brulant qui me coupait. Puis un autre coup a suivi sur mon cul. Alors que la flagellation continuait, il il a alterné les coups sur mon dos, mes épaules et mon cul.
À ce moment-là, je n’étais plus qu’un labyrinthe de zébrures et j’étais écarlate sur tout mon fessier. J’étais aussi très, très mouillée. Le maître a fait une vérification de ma lubrification avec trois de ses
doigts. Il s’est enfoncé profond. J’ai demandé si je pouvais enfin jouir ? Il a dit qu’il allait compter jusqu’à cinq. Un, il a remué ses doigts en moi. Deux, il a commencé à aller et venir avec ses doigts dans ma chatte. Trois, il m’a laissé m’appuyer sur son corps puissant. Quatre, il s’est mis a agiter frénétiquement en vitesse et en force. Cinq, j’ai joui partout sur sa main. Un long silence s’est installé, je me suis écroulé à genoux et j’ai murmuré « Merci, mon Maître ». C’est alors qu’il a ouvert sa braguette…
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