Étudiante soumise baisée par son professeur
Les parents de Cindy en ont eu assez de son attitude dilettante et de ses redoublements. 18 ans et en Première, il fallait que ca cesse. Les parents l’ont donc inscrite dans une école privée réservée aux filles. Elle s’était déjà fait virée de deux lycées publics et du fait de ses mauvaises fréquentations avaient déjà été arrêtée à plusieurs reprises pour des délits mineurs. Les parents avaient indemnisé les victimes, mais n’en pouvaient plus. Mettre Cindy en pensionnat, il avait bien fallut s’y résoudre.
Cindy s’est ainsi retrouvée dans un établissement qui ressemblait plus à une prison qu’à une école. C’était une école privée qui allait de la maternelle au BTS/Prépa. Tous les élèves portaient le même uniforme, une jupe au genou et un chemisier blanc, pour les filles.
Elle détestait la privation de liberté que cette inscription impliquée et en voulait à ses parents pour l’avoir envoyée dans un tel enfer, et encore, ce n’était que son deuxième jour. Le deal avec les parents était clair, que les notes remontent, que le bac de français soit réussi, que le comportement change et alors seulement elle pourrait quitter cet établissement.
Le dernier cours de la journée de Cindy était un cours de communication avec M. Boucher. Cindy s’est assise au dernier rang, en mâchouillant bruyamment son chewing-gum pour provoquer son professeur.
M. Boucher n’allait pas s’en laisser compter. Il se précipitait d’un pas vif vers le fond de la classe et attrapait Cindy par le poignet.
Il lui dit : « Ce comportement ne sera pas toléré dans ma classe« , et l’emmena à l’avant de la classe vers une place libre.
« Et mets moi ce chewing-gum à la poubelle !« , a-t-il dit d’un ton grave et sévère.
Cindy a craché le chewing-gum dans un petit morceau de kleenex et s’est affalée sur son siège. Elle fixait M. Boucher qui faisait des aller retours tout en délivrant son cours sur l’art de la politique du corps.
M. Boucher était un homme distingué de 33 ans, grand, avec des lunettes et une barbichette.
En s’asseyant, Cindy écartait les jambes juste assez pour permettre à M. Boucher de bien voir sa culotte blanche. Pure provocation !
Les yeux rivés discrètement sur sa montre avec l’impatience que la journée de cours se termine, Cindy avait bondi de son siège aux premières secondes de la sonnerie.
« Pas si vite » a dit M. Boucher. « Asseyez-vous Mlle Lefevre ».
Il a donné aux élèves leurs devoirs de lecture et a dit aux autres qu’ils étaient libres de partir.
La classe s’est vidée, laissant Cindy assise et M. Boucher appuyé sur le coin de son bureau.
Après une longue pause, M. Boucher regarda Cindy,
« Mlle Lefevre, nous avons un problème. C’est une classe de communication. Je suis le professeur et vous êtes l’élève… Comprenez-vous ? »
Cindy a souri, un brin défiante, et a dit : « Oui, évidemment.«
M. Boucher s’est approché du bureau de Cindy et a tapé violemment la table du poing. Cindy a sursauté et s’est redressée.
« Tu t’adresseras à moi en tant que M. Boucher ou Monsieur, compris ?«
Cindy a baissé les yeux et a dit doucement, « oui monsieur« .
M. Walters a encore frappé du poing et a crié « OUI QUOI ?« .
Pour la première fois depuis des années, Cindy avait peur. Personne ne lui avait jamais parlé avec une telle autorité.
« Oui Monsieur, je comprends » dit Cindy.
M. Boucher a attrapé Cindy par le poignet et l’a conduite à son bureau. Il s’est assis sur sa chaise en scrutant Cindy.
« Nous devons communiquer, et je pense que la sévérité est la seule chose que tu comprends. » Toujours en la tenant, il saisit les boutons du haut de la jupe et tira brusquement vers le bas en déchirant la fermeture éclair. La jupe tombait sur le sol.
Cindy essaya de reculer, mais il avait le dessus sur elle.
« Qu’est-ce qu’il y a ?« , lui demande-t-il. « Tu voulais que je voie cette petite culotte, ou tu es juste une petite allumeuse, suceuse de bites ?«
Elle était silencieuse. Il a tiré sur son poignet. « Alors ?«
Cindy s’est mise à sangloter : « Non, monsieur« .
M. Boucher la regarda et dit à Cindy,
« Tu ne pleureras pas, et tu prendras la punition appropriée que je juge appropriée, d’accord ?«
Toujours en pleurnichant, Cindy accepta doucement : « Oui, Monsieur Boucher »
« Je suis de la vieille école », dit M. Boucher. « Cela fait un moment que tu aurais du te prendre une bonne fessée« .
« Je veux que tu baisses toi-même ta culotte et que tu te mettes en position sur mes genoux pour que je te fesse. »
« M.Boucher ?!? » Cindy a demandé, interloquée.
Il l’a attirée fermement vers lui. « Je ne vais pas me répéter« .
Cindy a lentement baissé sa culotte avec sa main gauche jusqu’au sommet de son pubis et s’est arrêtée. Espérant que le professeur annulerait la consigne.
M. Boucher a serré fort son poignet pour exprimer sa détermination et son impatience, Cindy a donc continué à descendre sa culotte rendant visible sa jeune chatte.
M. Boucher l’a guidée sur ses genoux jusqu’à ce que son cul nu soit en l’air. Cindy a essayé de se protéger avec ses mains et M. Boucher a simplement dit : « Chaque fois que tu fais ça, il y en aura dix de plus.«
Il a commencé à lui donner de fortes claques sur les fesses. Elle se tortillait et essayait de s’échapper. Mr. Boucher a arrêté sa punition et a demandé,
« Est-ce qu’on commence à communiquer ?«
Cindy a répondu à bout de souffle : « Oui, monsieur. »
Malgré ce oui, M. Boucher a continué à faire rougir son cul lisse de claques cinglantes. Après un temps, il s’est arrêté à nouveau et a demandé.
« Vas-tu te comporter comme une lycéenne modèle ou comme une petite salope allumeuse suceuse de bites ?«
« S’il te plaît, arrêtez« , a crié Cindy. « Je vais bien me comporter« .
« Mauvaise réponse« , a dit M. Boucher et continuer à fesser Cynthia sur le cul cinq fois de plus. Sa main s’est posée sur son cul et le majeur de sa main droite s’est frayé un chemin entre ses jambes et a écarté ses petites lèvres. Sa chatte était humide à cause de l’excitation.
« Tu es une petite salope qui aime les bites, n’est-ce pas ? »
« Oui Monsieur » a-t-elle pleurniché.
Il a retiré son doigt et lui a dit de se lever. Cindy s’est levée et a immédiatement essayé de remonter sa culotte.
M. Boucher l’a stoppé net : « Enlève-la complétement et va au tableau ».
Cindy a obtempéré avec hésitation et s’est tenue devant le tableau blanc pour recevoir des instructions. « Tu vas écrire, « Je ne serai pas irrespectueuse envers M. Boucher », « cinquante fois« . Cindy a pris un feutre et a commencé à écrire. Elle se tenait là sur la pointe des pieds, tremblante, ne portant que son chemisier et son soutien-gorge, son cul ferme rougi par sa punition.
Il se tenait derrière elle, observant chaque mot ecrit. Après l’avoir regardée terminer sa dixième phrase, M. Boucher a demandé. « Tu réalises que c’est une classe de communication et que irrespectueux s’écrit avec deux M ». Cindy a rapidement dit, « Je suis désolée Monsieur, je vais corriger.«
Cindy a levé la main avec le tampon et a entendu M. Boucher ouvrir son pantalon. Il lui a donné une grande claque sur les fesses et lui a dit d’écarter les jambes.
Cindy a répondu, « Monsieur ?!?«
M. Boucher a attrapé Cindy par la queue de cheval : » Tu ne peux pas me respecter si tu ne sais même pas épeler, tu dois apprendre. «
Il a écarté ses jambes et a forcé sa grosse bite dans la chatte humide de Cindy.
Cindy a crié quand il s’est enfoncé très profond. « Continue d’écrire« , a-t-il exigé en continuant à la besogner par derrière.
Cindy a essayé de continuer ) écrire, mais les coups de reins du professeur l’en empêchait. Le feutre s’est enfoncée et ses paumes ont affleuré sur le tableau blanc. Elle s’est mise à aller au devant des coups de reins du professeur. Le pouvoir qu’il avait sur elle l’excitait terriblement. Elle ne s’était jamais sentie aussi soumise de toute sa vie et ça l’excitait. Elle a senti qu’elle allait bientot jouir et a essayé de se retenir. Il a frotté son clito et a continuer à la prendre, les coups de reins claquaient sur les fesses.
Cindy a gémi.,,, « Oh encore …. encore .., je vais jouir, oh oui… encore ….«
M.Boucher a senti que son propre plaisir n’était pas loin et l’a baisé encore plus fort, puis s’est arrêté Cindy l’a supplié, « continuez s’il vous plait, baisez moi ! »
M. Boucher a attrapé Cindy par les cheveux et l’a mise à genoux. Sa bite palpitante à forcé la bouche de Cindy, il lui a ordonné. « Suce-moi. A fond »
Cindy la bouche comblée par la queue, et a pris tout ce qu’elle pouvait dans sa bouche, sentant le gland au fond de sa gorge. Elle en faisait des haut-le-cœur. C’est alors que M. Boucher s’est mis à gémir de plus en plus fort pour enfin exploser. De longs jets de sperme s’écoulaient dans la bouche de Cindy. Cindy a avalé ce qu’elle a pu, mais le sperme dégoulinait de sa bouche, coulait sur son menton.
M. Boucher a remonté son pantalon, a remonté la fermeture éclair et a laissé Cindy à genoux. « Rassemblez vos vêtements, et allez au dortoir.«
« Et n’oubliez pas, nous avons cours demain…«
Cindy a attrapé sa culotte et sa jupe déchirée, et a souri. « Oui Monsieur, M. Boucher… ».
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