Estelle en avait assez de la vie. Elle a finit esclave sexuelle
Après deux tentatives de suicide infructueuses et plusieurs thérapies, Estelle avait renoncé à la vie. Elle la traversait comme un zombie, sans penser à rien, en faisant son travail à l’usine et en passant ses nuits seule. La seule chose qui la faisait tenir, c’était ses fantasmes de torture. Ça l’excitait. Elle rêvait de subspace.
Elle naviguait régulièrement sur le web, regardait des vidéos de torture et lisait des histoires érotiques autour des supplices. Elle en profitait pour se masturber parfois en regardant fébrilement les scènes, mais sans jamais atteindre l’orgasme. Elle ne savait d’ailleurs pas ce que c’était un orgasme !
À 19 ans, elle n’aimait pas la perspective des années qui allaient suivre. Elle n’avait aucun espoir. Et un jour, c’est arrivé. Un simple email dans sa boîte de réception, un spam. Il disait : « Tu en a marre ? Tu es jolie fille ? Tu veux changer ta vie ? [CLIQUES !] » … CLIQUES ! était un lien… Alors elle a cliqué. Le site web, hébergé on ne sait où, contenait des pages et des pages d’explications, et un formulaire de candidature. Le formulaire comportait des questions telles que : « êtes-vous prêt à renoncer à tous vos droits humains », « avez-vous quelque chose à offrir sexuellement » et faisait 140 pages. Il a fallu à Estelle une semaine pour tout remplir, chaque nuit elle répondait à d’autres questions perverses et intimes, elle se photographiait en détail, son cul, sa chatte, ses seins… , et au bout d’une semaine elle validait enfin le formulaire. C’était une façon amusante pour Estelle de passer le temps. C’était juste pour s’occuper, sans conviction.
Au bout d’une semaine, elle a reçu une lettre. La lettre disait « Félicitations, vous avez été sélectionnée pour le programme, vous recevrez des instructions dans 30 jours ». Il figurait déjà dans la lettre de premières instructions . On lui demandait de quitter son travail, dénoncer le bail de son appartement et d’écrire une lettre de suicide. Elle devait également déposer les clés de sa voiture dans une boîte aux lettres prise au hasard et monter dans un bus le premier jour du mois suivant.
Elle a voyagé pendant deux jours, pour une destination où elle n’était jamais allée auparavant.
Finalement, une limousine aux vitres teintées l’a emmenée dans un endroit isolé, à au moins dix heures de route.
À son arrivée, elle a été accueillie par quatre hommes, chacun ne s’intéressant pas à elle, mais examinant son corps, ses seins, ses tétons, ses fesses, sa chatte, sa bouche … en prenant des notes.
On lui a dit de s’allonger et on l’a mise sous sédatif, dans ce qui ressemblait à une salle de chirurgie. Tandis qu’elle s’endormait doucement du fait de l’anesthésie; on lui annonça son destin : « Nous fournissons des pièces d’art vivant à des clients riches et anonymes. Vous allez être modifiée selon les instructions que nous avons reçues. Peut-être vous réveillerez-vous à peu près normale … à moins que vous soyez totalement transformée. La plus grande modification que nous ayons faite a été l’ablation des yeux, des cheveux, des dents, de la langue, des cordes vocales, des oreilles, des seins, des bras et une lobotomie. Vous pourriez finir comme une simple chatte ambulante pour le reste de ta vie. Êtes-vous prête à prendre ce risque ?« . Estelle a hoché la tête, pour y consentir … et a lentement perdu connaissance.
A son réveil, elle avait un terrible mal de tête. Elle était allongée dans un lit, dans une chambre luxueuse. Elle se sentait étrange. Elle regarda autour d’elle et aperçu un miroir. Elle s’en approcha et faillit s’évanouir de surprise.
Le miroir lui renvoyer l’image d’un pur objet sexuel, elle était méconnaissable. Ses cheveux étaient blancs, son visage était recouvert de maquillage permanent vaguement vulgaire, il était beau mais avec beaucoup plus d’expression que ce à quoi elle était habituée. Ses lèvres étaient archi pulpeuses et quand elle a ouvert la bouche pour dire quelque chose, elle a remarqué qu’elle ne pouvait plus parler. L’air sortai de sa gorge mais aucun son ne l’accompagnait, sa langue lui semblait étrange. Quand elle l’a tirée devant le miroir, elle a compris pourquoi : elle avait quatre gros clous de piercing et un anneau, l’anneau à l’extrémité et les quatre clous sur toute la longueur.
Elle fait glisser sa robe de chambre et a regardé sa nouvelle silmhouette : elle avait maintenant des hanches très fines, des seins ronds au galbe parfait, sans piercings. Ses jambes étaient maintenant minces et on lui avait mis des talons de 10 cm. Elle n’avait jamais été capable de se tenir debout sur des talons hauts… Elle a écarté les jambes et a vu qu’ils avaient transformé sa chatte ; elle était maintenant naturellement ouverte… sans grandes lèvres, sans vulve elle pouvait voir directement à l’intérieur. Son bouton de clitoris avait disparu et le lourd anneau qui avait pris place à l’emplacement de son clito expliquait l’excitation permanente qu’elle avait ressenti au réveil.
Ses bras et ses jambes avaient été tatoués. Le tatouage ressemblait à un anneau noir autour de ses jambes et de ses bras, mais c’était en fait des mots crus, vulgaires, pornographique. Juste sous son nombril, il y avait un « X » tatoué et dans son dos, un numéro : 554-565-896-12. Un numéro d’identification de soumise.
Une femme est entrée… sans dire un mot, elle lui a tendu un déshabillé de soie noire. Estelle l’a regardée en s’interrogeant, mais la femme ne l’a pas regardée dans les yeux. Sa bouche était ouverte et une laisse était attaché à son anneau de langue. Elle a suivi la femme, sans se douter de son destin.
Elle a été conduite dans une pièce, entièrement peinte en noir. Les lumières s’allumèrent, et elle vit des hommes et des femmes, la plupart nus et certains excités, debout tout autour… Un grand lit rond de couleur rouge était au centre de la pièce.
La chaîne était attachée au lit, et une fille lisait à haute voix : « Ce nouveau jouet a été spécialement conçu pour cette pièce. Il ne la quittera jamais cette pièce, et n’aura jamais d’autre activité que de vous faire plaisir. Elle ne peut pas parler, et s’il vous plaît, ne lui parlez pas. Chaque heure, ou à votre demande, elle sera lavée et préparée.
Profitez-en !«
Estelle n’a pas eu le temps de réfléchir. De la musique forte était diffusée et les hommes s’approchaient d’elle et l’utilisaient pour se branler, comme un sextoy. Elle était un jouet sexuel livrait à un gangbang sans fin. Elle était souvent utilisée pour nettoyer les hommes avant qu’ils ne retournent baiser leur petite amie, leur femme ou leur pute dans une autre pièce… Elle ne s’était jamais sentie aussi seule, mais elle a fini par céder à son nouveau rôle d’esclave sexuelle. Et petit a petit par aimer cela…
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