Un esquimau dans la chatte
C’était une chaude journée et nous nous promenions depuis environ une heure. Je me suis penchée pour boire une longue gorgée d’eau fraîche à la fontaine…
Vous avez semble-t-il aimé me voir me pencher, vous m’avez donné une petite tape sur les fesses, et tu m’as dit « On rentre à la maison », j’ai lu du vice dans vos yeux et je me suis dit que le reste de l’après midi allait être encore plus chaud.
Arrivés chez vous, nous sommes entrer dans ton appartement où la fraîcheur de l’air conditionné de votre appartement, nous a fait un bien fou. Là, vous m’avez attrapé par derrière et dit « déshabilles-toi, salope !« . On jouait souvent ainsi, vous le dominateur, moi la soumise, alors j’ai tout enlevé
sauf mes escarpins que vous m’avez demandé de garder : « tu vas en avoir besoin« .
Vous m’avais pris la main, assez fermement et conduit à la table en verre de la salle à manger. Vous me demandez alors de me pencher sur la table et de poser ma joue sur mes mains. J’obéis sans un mot, le cul en l’air, et la chatte exposée à votre vue.
Vous m’avez dit à quel point j’avais l’air délicieuse et que vous vouliez me goûter.
Vous me caressiez le cou et titilliez le clitoris avec votre index. Vous avez alors porté votre doigt à votre bouche et vous l’avez sucer pendant un moment avant de le ramener à ma chatte pour poursuivre votre douce torture. J’étais si loin de me douter que ce n’était là qu’un début.
Vous m’avez lentement embrassé le long de la colonne vertébrale, puis après avoir séparé mes fesses et m’avoir embrassé jusqu’au clitoris. ,vous avez entrepris de me bouffer la chatte. J’ai commencé à gémir et à me tortiller avec plaisir.
« Ohh, comme j’aime, Maître…«
Vous continuez, sans un mot, à me laper la chatte comme vous savez que j’aime.
« Maître, je pense que je vais jouir.«
Vous suciez mon clito plus fort. J’étais fébrile et mes jambes tremblaient. J’avais l’impression que j’allais défaillir, mais vous persistiez
« Maître, je crois que je vais tomber. »
Vous m’avez empoigné, soulevé et porté sur votre épaule jusqu’à la chambre. Vous m’avez jeté sur le lit. « Bras et jambes écartés. Maintenant ! »
A ce moment, je sens votre impatience, je prends donc promptement la position demandée, avec les mains et les jambes comme vous vouliez. Vous m’avez attaché au lit pour que je garde cette position.
Vous avez ensuite quitté la pièce, brusquement, sans un mot.
Je reste là, abasourdie, m’attendant à ce que vous soyez en colère pour partir ainsi.
Une minute plus tard, vous êtes revenus, avec une glace à la cerise.
« Il fait chaud, je pense que nous avons tous les deux besoin de nous rafraîchir.«
Vous m’avez alors enfoncé l’esquimau dans la chatte. Le froid me donnait envie de fermer les cuisses, mais les liens les tenaient solidement en place.
Vous avez commencé à m’embrasser, à caresser mon ventre et à pincer mes tétons. Je me tortillais un peu plus encore et remonter les hanches vers le haut pour me soustraire à cette torture.
« Patience ma chère » alliez vous me dire, en continuant à pincer mes tétons. Vous vous êtes baissé et vous avez retirer le bâton en bois de l’esquimau. La glace est restée dans mon vagin.
« Parfait, maintenant tu es prête à te faire bouffer la chatte. » Et vous avez commencer à sucer la glace à l’entrée de ma chatte. Vous avez renfoncé le bâton, pour le ressortir avec de la glace et de la cyprine mélangée. Et vous m’avez fait lécher le bâton.
« Mmmm, merci Maître«
« De rien salope » alliez vous me répondre en aspirant ce qui restait de glace sur le bâton. Vous continuez à me lécher jusqu’à ce que je jouisse.
Je me réveille quelques heures plus tard pour découvrir que je suis détachée et allongée nue dans ton lit, recouverte seulement d’un drap blanc légèrement transparent.
Vous m’aviez laissé une note avec des instructions. Je m’assois pour la lire et je sens une pression dans mon anus. Vous avez dû doucement inséré le plug d’entraînement dans mon cul pendant que je dormais. Je le touche, et je commence à jouer avec un peu avec pendant que je lisais votre lettre :
« Salope, tu ne dois pas quitter ce lit. Tu ne dois pas regarder LA TÉLÉ. Je te laisse un gode pour te divertir. Si tu dois quitter le lit pour faire pipi, tu dois te masturber d’abord. Sois sage, sinon tu seras fessée. »
Je m’allonge et souris un moment, et joue un peu avec moi-même à me travailler le cul avec le plug. Le gode que vous m’avez laissé est légèrement plus petit que votre pénis.
Je frotte ma chatte avec, juste un peu, et puis j’ai réalisé que j’avais vraiment besoin de faire pipi. Je m’allongeais, frotte mon clito plus fort avec ma main, et laisse le gode dans mon vagin. Je suis prise par les deux trous.
Je continue à me toucher, jusqu’à ce que je jouisse. Et j’ai jouis très intensément…
Après avoir joui, je suis allée dans la salle de bain, en faisant attention à ne pas perdre mon plug puis je suis retourné et je retourne au lit. Et en retrouvant le gode resté posé là, et je me sens soudainement très excitée. Je me masturbe avec, mais je m’endors avec le gode en moi.
Vous revenez quelques heures plus tard et me trouvez dans le lit, allongée sur le côté.Vous cherchez le gode, mais vous ne le trouvez nulle part.
Je dors profondément, mais change de position et m’allonge sur le dos.
sur le dos. Je ne suis pas du tout consciente de votre présence.
Vous le voyez alors la moitié du gode sortir de ma chatte…
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